Comme j'ai eu déjà l'occasion de vous le dire, l'amitié compte beaucoup pour Laurent Stecker.
Sylvie, la bonne copine de travail, qui fait le même métier dans l'avion. C'est elle qui le conseille de consulter une thérapeute. Elle aussi qui le secoue quand il est sur le point de sombrer dans la dépression.
Ralph, un américain plus âgé que Stecker. Environ d'une dizaine d'années. Juif new-yorkais, showrunner, bien dans sa peau et dans sa vie. Ils se sont rencontrés par hasard au Drugstore des Champs-Élysées où Stecker a aidé spontanément cet inconnu à se sortir d'une mauvaise passe. S'en suit une vraie amitié durable. Ralph Kremis est vécu par Stecker comme un frère aîné, un modèle de réussite.
Micky, une franco-canadienne qui vit à New York. Rencontre fortuite avec Stecker dans un grand magasin new-yorkais. C'est une jeune et belle trentenaire, sportive de haut niveau, entraîneuse d'une équipe de baseball. Micky est lesbienne, mais ça, Stecker qui avait des vues sur elle au moment de leur rencontre, ne le sait pas. Il a fantasmé. Il déchante. S'installe alors entre eux une véritable amitié qui ne se démentira pas.
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