Il faut lire les romanciers. Les anciens et les modernes. Mieux que tout autre (et je pense aux philosophes), les écrivains savent sonder et mettre en lumière les obsessions qui nous assaillent : la réussite de la vie, les échecs irrattrapables, le vide existentiel, les douleurs du vieillissement, l'énigme de la mort... et autres petits riens.