Tu as dit de travail ce
sera le prochain
Le pont japonais
au-dessus du bassin
On convoquera Monet
ses iris Giverny
On dessinera ensemble
tous les deux
Joyeusement
En se remémorant la
belle Normandie
Et j’ai souri
Tu as dit sur l’onde
il offrira une ombre
Distinguée
Les papyrus par
habitude s’étoileront
Les poissons
l’ignoreront
Les nénuphars en
rougiront
De fierté
Et j’ai souri
Tu as dit le soleil
qui toujours est de la fête
Se fera remarquer
Encore
L’eau de la jarre
crânera de plaisir
Et j’ai souri
Mais nos dessins sont
là inutiles orphelins
Et le sourire n’est
plus
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