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Communiquer avec vous, à partir des thèmes qui m'intéressent, et pour lesquels je souhaite vos réactions : l'actualité, les livres, les films, les musiques, et bien sûr les différents sujets auxquels la vie nous confronte.

dimanche 18 septembre 2011

Problème de santé intime... et publique

Quand le corps souffre (passagèrement s'entend!), ne dites pas "je suis malade", mais " j'ai un pépin de santé". Si  vous utilisez un langage dédramatisé pour une affection temporaire, si vous convenez que c'est momentané, que c'est guérissable, vous irez moins chez le médecin et chez les spécialistes, vous ferez moins d'examens, vous prendrez moins de médicaments, vous réduirez votre angoisse existentielle... et la Sécurité Sociale se portera mieux.
Vous me rétorquerez peut-être que c'est absurde, que les mots n'ont pas d'importance, qu'ils sont interchangeables. Détrompez-vous. Je crois que le langage qu'on se tient à soi-même sur soi agit beaucoup, sur notre psychisme bien sûr, mais aussi sur notre corps. Ne l'oubliez jamais : notre corps est un ami précieux, un vrai, peut-être le meilleur. 

1 commentaire:

  1. Tout à fait d'accord avec ce commentaire au sujet de la puissance des mots sur notre propre corps. Les douleurs parlent des maux mais les mots peuvent répondre aus maux et ce dialogue dispense le corps de ses souffrances.

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